TIPASA – Le ministre de la Justice, Garde des sceaux, Tayeb Louh, a indiqué mardi à Tipasa qu’en Algérie « les droits de l’Homme ont appliqués naturellement par toutes les institutions et sous le contrôle de la magistrature ».
« Les droits de l’Homme sont appliqués naturellement dans la société algérienne par toutes les institutions et sous le contrôle de la magistrature », a déclaré M. Louh en marge de la cérémonie de distinction des détenus lauréats du Baccalauréat et du BEM session juin 2017 à l’Etablissement de rééducation et de réadaptation de Koléa.
« Les problèmes soulevés çà et là sont souvent dus à la méconnaissance des dispositions prévues par la législation algérienne en la matière », a estimé le ministre qui a souligné dans ce sens le rôle de la vulgarisation et des médias.
Concernant la consécration de la culture des droits de l’Homme, M. Louh a affirmé que l’Algérie « a franchi des étapes considérable de l’aveu même des organisations internationales activant dans ce domaine », mettant en avant « les réformes initiées depuis 2000 au titre de la mise en œuvre du programme du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, et la teneur de la récente révision de la Constitution ».
En dépit de la conjoncture sécuritaire que traversent la région et le monde, la législation algérienne « ne restreint pas la circulation des personnes », a-t-il ajouté.