Lutte contre l'extrémisme violent: appel à la mise en place d’une plate-forme de veille médiatique 

Cette plate-forme devra être animée par les points focaux de ces acteurs et mécanismes chargés de la prévention et de lutte contre le radicalisme et l’extrémisme violent dans la région sahélo-aharienne, en l’occurrence, l’unité de fusion et de liaison (UFL) et le centre africain des études et recherches sur le terrorisme (CAERT), basés à Alger, ont préconisé les participants à l’issue des travaux de cet atelier.

Les participants ont appelé, également, à la poursuite des efforts de sensibilisation et d’information en direction notamment des populations défavorisées.

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Le renforcement des capacités des journalistes et communicateurs de la région, dans le domaine du contre-discours radical, de lutte contre  la  désinformation et le cyber terrorisme, est au centre aussi des recommandations des participants qui ont préconisé, dans ce cadre, la  mutualisation des actions de prévention et de lutte contre le terrorisme entre les acteurs opérationnels en la matière d’une part, et la société civile, médias et religieux, d’autre part. 

Ils ont insisté, en particulier, sur l’importance de l’élaboration d’un guide de bonnes pratiques au profit des journalistes et communicateurs, portés sur les questions d’ordre sécuritaire, à l’instar du radicalisme et de l’extrémisme violent.

Initié par l’UFL, avec la participation du CAERT et le ministère de la communication du Niger, cet atelier a été organisé dans le cadre des activités du plan d’action stratégique de la cellule de communication de l’UFL. Il a été marqué par la participation des journalistes et communicateurs venants de l’Algérie, Burkina-Faso, la Libye, le Mali, la Mauritanie, Niger, Nigéria, Tchad, la Cote d’ivoire, la guinée et le Sénégal.